dimanche 18 juillet 2010

Il faudrait que je trouve le courage

Mais pour l'instant, je ne l'ai pas. Quand je ne travaille pas, je m'évade en lisant, je rêvasse en regardant les papillons à la campagne et je profite de l'air iodé de la mer.
Le reste n'a que peu d'importance.

Une chanson pop japonaise, ultra calibrée pour l'été... oublions juste les uniformes scolaires, beuuuuh pour l'instant on ne préfère pas en entendre parler ! ;D

lundi 5 juillet 2010

Parce que c'est les vacances et que finishing Harry Potter and the Deathly Hallows was like destroying the last Horcrux of my childhood

J'ai promis des articles, et à la place je poste autre chose, ce qui est tout à fait typique de moi.
Mais voilà, j'ai entamé la relecture de toute la saga Harry Potter et tout le monde se met à parler du septième film alors je n'en sors plus... 
Voici une compilation des images trouvées ci et là (surtout sur Tumbler, qui me fait bien de l'oeil), qui m'ont plu, émue, fait rire.
Il y a exactement dix ans, j'avais passé une bonne partie de l'été à faire des recherches sur Harry Potter et j'avais découvert les premières images du film. Je me souviens avoir très longuement contemplé celle-là... Je lisais des théories sur ce qui allait se passer dans les tomes suivants et j'espérais comme il était parfois marqué que le père d'Harry allait lui apprendre à se transformer... et déjà à l'époque j'espérais que Snape était amoureux de Lily (j'ai quand même été visionnaire sur le coup !) même si une rumeur disait qu'une prof féminine allait venir à Hogwarts et qu'il allait en tomber amoureux (mouahahah j'aurais du garder ce genre de trucs, ça ferait de beaux souvenirs aujourd'hui).
Les gens qui découvrent Harry Potter aujourd'hui, alors que c'est devenu un phénomène gigantesque, ne peuvent sans doute pas comprendre l'émotion que nous avons nous autres, en repensant au premier moment où nous avons vu le premier tome, sans nous douter qu'il allait nous marquer à ce point. Je le revois encore sur le présentoir de la bibliothèque, avec un post-it de la bibliothécaire qui le conseillait. Je me souviens avoir pensé "tiens ça a l'air sympa". 
Les gens qui critiquent le premier tome en disant qu'il est très enfantin ne comprennent pas ce qu'il représente pour ceux qui avaient onze ans quand ils l'ont ouvert, et qu'il n'y avait que les magazines littéraires qui en parlaient. Je sais qu'à chaque fois que j'ouvrirai ce livre (et j'espère bien qu'elles seront nombreuses), j'aurai à nouveau onze ans, et les yeux qui brillent.